Et pourquoi pas un canot amphibie ?

Dimanche 23 août, les béné­voles de Locqui­rec se sont rendus à Port­sall pour assis­ter à une démons­tra­tion du semi-rigide amphi­bie « Sealegs »

Le semi-rigide Sealegs en parcours terrestre
Le semi-rigide Sealegs en parcours terrestre

De nombreuses stations SNSM situées dans un port à échouage sont confron­tées au même problème : comment inter­ve­nir rapi­de­ment lorsque la marée est basse ? Certes, le canot est quelque part en pleine eau mais encore faut-il s’y rendre ! L’es­tran est parfois vaste et semé d’em­bû­ches…

La station de Port­sall caresse l’idée d’uti­li­ser un semi-rigide amphi­bie. Elle a donc demandé à un agent de la société néo-zélan­daise Sealegs de venir faire une démons­tra­tion de son canot. En mer, le Sealegs s’est comporté comme un très bon semi-rigide, rapide et stable. A terre, l’en­gin s’est montré convain­cant avec huit personnes à bord, même sur une dune en dévers. Port­sall pour­rait bien sauter le pas et s’of­frir ce beau joujou à 140 000 €.

Le Sealegs en mer : on aperçoit les deux roues arrière relevées
Le Sealegs en mer : on aperçoit les deux roues arrière rele­vées
Retour sur la terre ferme
Retour sur la terre ferme
La roue avant du canot, à propulsion hydraulique comme les deux autres
La roue avant du canot, à propul­sion hydrau­lique comme les deux autres