Quatorze ruptures de mouillage cette année !

Un record que l’on espère ne pas battre l’an prochain !

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Une des singu­la­ri­tés de notre zone d’in­ter­ven­tion est l’ab­sence totale de ports aména­gés avec des pontons. Nous avons le plus souvent affaire à des ports à échouage où les bateaux sont amar­rés à des corps morts. Les plai­san­ciers sont respon­sables de leur chaîne, de leur bouée et de leurs bosses tandis que la conces­sion est en charge du bloc et de la chaîne mère. Ces mouillages sont soumis à rude épreuve par gros temps. Si l’on ajoute à cela quelques négli­gences dans l’en­tre­tien et la surveillance des chaînes et des bosses, on comprend pourquoi tant de bateaux se retrouvent à la côte. L’in­ci­dent, sans gravité si l’em­bar­ca­tion s’échoue sur une plage, peut deve­nir une vraie catas­trophe sur la roche avec du clapot.

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Les béné­voles de la station remettent les bateaux à l’eau à la faveur de la marée suivante si les coef­fi­cients de marée vont crois­sant. Dans le cas contraire il faudra attendre plusieurs jours ou faire appel à des moyens lourds. Les frais occa­sion­nés par ces fortunes de mer sont géné­ra­le­ment couverts par l’as­su­rance du bateau.

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En cas de rupture de mouillage, la poli­tique de la station SNSM de Locqui­rec est de n’in­ter­ve­nir qu’à la demande du proprié­taire du bateau (sauf péril immi­nent). Il est donc très impor­tant que le bateau soit iden­ti­fiable et que les coor­don­nées du proprié­taire aient été commu­niquées au gestion­naire de la conces­sion (la mairie) et éven­tuel­le­ment à l’as­so­cia­tion de pêcheurs plai­san­ciers locale.

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En balade sur l’Ile Verte !

 

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Celui-ci s’en tire avec quelques vilains coups de griffe, aucune voie d’eau à déplo­rer